Pour cette deuxième journée, le Captain a mis les petits pieds dans le plat ou les grands plats dans les petits verres. Enfin bref, la bière était fraîche quoi et personne n'a boudé son plaisir.
Côté match, Guillaume Bonange affrontait Eric Blanc. Sans doute inspiré par son beauf, Stéphane Houdet, récent vainqueur de l'US Open de tennis fauteuil, Guillaume a rendu une copie très propre malgré la ténacité de son adversaire. Bon, j'avoue, je n'ai pas tout vu. Bon, rien du tout en fait. Mais c'était quand même un beau match, le prize money en moins. Résultat 11-7 11-6 11-6 pour Guillaume. Bien joué !
Pour le deuxième match, c'est notre légende, star en devenir selon certains, qui est rentrée sur le terrain. Nous l'avons nommé Sébastien Diiilllllllllllllennnnnn ......
Schneider !!!!! Notre Lorrain.
Face à lui, un adversaire téméraire et combatif, Jean-François Mertz Revol. Il faut avouer qu'entre eux deux, ça ressemblait à un derby Mertz-Nancy.. Désolé, pas pu m'empêcher. Seb a su déployer progressivement l'ensemble de sa palette technique tout en mettant un point d'honneur à courir le moins possible. Belle conservation du thé en somme. Après une petite frayeur au premier set perdu 11-4, Seb a renversé la vapeur pour garder le contrôle sur les trois sets suivants : 11-8 11-3 11-3. C'était propre.
Troisième match, c'est l'heure de la revanche entre moi-même et Olivier Cahuzac. Lors de notre première rencontre en fin d'année dernière, ça semblait simple (il revenait des vétérans France avec deux jambes de moins..). Cette fois ce n'était pas la même. Bien affuté après des stages Mesiciens, Olivier a délicatement déroulé son jeu, ne commettant que peu de fautes et me laissant tranquillement m'impatienter. Après un premier set plutôt disputé conclu par Olivier 12-10, j'ai un peu essayé de finir les points plus vite pour perdre un peu plus vite 11-5 au deuxième set. Après un bon coaching de MichMich et Fred, j'ai bien tenté d'être plus patient mais Olivier a continué à contrôler peinard pour finir le travail 11-8 tandis que je poussais vainement plusieurs gueulantes. Bravo à lui !
Pour le dernier match, Julien Salom a fait son entrée en piste. Face à lui, Thierry Semelle. De beaux échanges entre eux deux, avec un niveau de jeu qui est monté constamment le long du match et particulièrement au cours du troisième set. Julien a remporté son match 11-8 11-8 11-3 mais son adversaire n'a pas démérité. Bravo à eux !
Et, comme dans un bel album d'Astérix, tout cela s'est terminé autour d'un bon banquet avec de la cochonnaille et lapinnaille de Castelmaurou, de la pata negra et des pizzas. On a fredonné des chants scouts jusqu'à pas d'heure. En plus, nous avons eu le plaisir de la visite de différents joueurs ou ex-joueurs du TOAC.
Ah oui, on s'est bien régalés !
Bon on ne va pas faire durer le suspense trop longtemps, j’ai décidé de prendre en charge le 1er compte rendu de la saison. Et comme je sais que vous êtes tous impatients, je vous rassure, nous sommes en plein dans le respect du projet 2017/2018…
Hier soir, je ne sais pas pourquoi ni comment, je suis arrivé plus en retard que Guillaume (B, pas P). Autant dire que les matchs avaient bien commencé, du coup.
Sur la gauche, un barbu était en train de perdre son set, et sur la droite, un neocapitaine était en train de perdre son set… Le temps de dire bonjour (je suis quand même un peu éduqué) à nos hôtes, Seb sort du cours de gauche avec un 11/5 dans la musette… autant dire qu’il n’avait pas son sourire des grands jours… renseignements pris auprès de Guillaume (je ne me suis pas risqué à parler à Seb), ils en était à 1 set partout. No stress, Barbu avait gagné le 1er 11/9. Et voilà que sort de droite Aurélien, en mode j’suis cool, alors qu’il venait de perdre son set 11/7… Genre ça me fait rien… Ils en étaient eux aussi à 1 set chacun. Ils repartent tous dans l’arène et le temps que je me change, Seb venait de coller 11/1 à son adversaire. Bizarre, il sort du cours en râlant. Je lui parlerai plus tard. Plus dur pour Aurélien qui arrache le 3° set dans une ultime souffrance 12/10. Je le coache donc : « allonge »… Résultat 4° : 11/2 pour le biboucher. Je suis vraiment trop fort comme coach. Et 11/4 pour Dillen !! c’est la fête, des danseuses nues rentrent dans le gymnase, des confettis tombent du plafond… Du calme, le match n’est pas gagné.
Entrée en lice de Guillaume, et de votre serviteur. Je ne sais par quel artifice Guillaume se retrouve n°4 et moi 3… mais je sens le talent de notre capitaine qui joue la victoire sur le décalage qu’il crée grâce à mon magnifique classement. Il a été à bonne école ces dernières années. Guillaume se régale donc en éclatant son adversaire en 3 sets vite torchés. Quand il sort de son cours, je perds déjà 2/0 après des échanges interminables (faudrait quand même que je revois la video). C’est beau le squash quand c’est bien joué comme ça. A la pause, Aurélien s’occupe de moi : « allonge » et « sers comme un homme »… Coaching efficace je reviens à 2/2… Et soudain c’est le drame, Seb me parle : « joue sans pression, on a gagné, et de toutes façons tu es de compte rendu »… pas la peine de se faire chier, je reprends ma tactique des 2 premiers sets et je me fais dégommer comme une saucisse après un suspense intense 11/4…
TOAC 3 / PORTET 1
Bon à la douche, on a enfilé quelques bières et cochonnailles (heureusement que tu n’étais pas là Doudou, tu aurais crevé la dalle). Seb a bu du coca, mdr.
Allez la bise à tous (du coup je ne vais pas être resélectiionné tout de suite, à mon avis)
Matthieu
79 joueurs, 24 joueuses et 1 arbitre de merde : le tournoi du TOAC 2017 est enfin terminé !
Pour commencer, je voudrais remercier ceux qui ont contribué à la réussite de cet Open.
Il se trouve que j'ai un vrai travail cette année, donc pas tellement le temps de vous raconter des conneries comme je le fais habituellement...
On va donc faire court, très court !
LES TOPS
LES FLOPS
Ben y'a que moi.
Je me dois quand même d'expliquer, avec le recul, pourquoi je me suis mis à arbitrer comme une grosse merde sur la balle de match, pourquoi j'ai foutu en l'air tout un WE d'arbitre juste, pourquoi j'ai privé un gars d'une victoire, pourquoi j'ai perdu la raison...
J'ai une ligne d'arbitrage assez sévère : selon moi, un joueur doit faire les efforts, ne pas tenter de duper l'arbitre et rester courtois. J'ai donc tendance à donner assez facilement des NO LET, même sur des points importants. C'est d'ailleurs comme ça que s'est terminé le premier jeu de la finale.
Remettons nous dans le contexte : Nico a mené deux jeux à zéro, Jean-Yves l'a épuisé et est revenu à deux jeux partout et il mène 9/6 dans le cinquième.
Même si sur les derniers points, Nico a mené les échanges, pour moi, il ne fait aucun doute (mais alors aucun) que Jean-Yves va s'imposer tellement Nico est HS.
Malgré un baroud d'honneur de Nico et peut-être un manque de stratégie de Jean-Yves : 11/10 Agricol, balle de match.
Belle balle de Jean-Yves, Nico fournit un infime effort pour aller chercher la balle, convaincu que le matche est plié. Cela s'apparente d'ailleurs plus à une libération après tant d'efforts qu'autre chose... c'est un NO LET, je le sais et je dis donc : "on va remettre un LET parce que c'est une balle de match", pris par la bonne ambiance, le show à l'américaine, sans jamais imaginer que Nico peut renverser le score, alors qu'il ne suffit que de quelques points.
C'est fait, je le regrette énormément, mais c'est comme ça qu'on apprend.
Ceux qui ne font rien ne se trompent jamais.
LES HASHTAGS
Je suis fier de ce que ce tournoi véhicule : passion, belles histoires, rencontres, partage car c'est ça le TOAC et vous ne reviendriez pas aussi nombreux si vous ne partagiez pas ces valeurs.
Alors, on va essayer de continuer à organiser un joli tournoi pour vous, peut-être deux par an, à voir, car c'est toujours plaisir de voir que certains font 5h de bagnole pour que je leur gueule dessus entre les matches.
La bise à toutes et tous et un grand merci bande de taré(e)s.
Pierre.
Compte rendu de notre épopée en pays tourangeau !
L’histoire commence... 2 équipes, 2 voitures, 2 départs... Oui car nous avions décidé de partir avec les garçons d’Airbus Central mais vous aurez compris que cela c’est terminé par une voiture de filles et une de garçons. Et pour faire taire les mauvaises langues, en partant avant les garçons, nous sommes bien arrivées avant eux !
Toute ressemblance avec un personnage réel ne serait que pure extrapolation de votre esprit alors arrêtez la Marijuana, ceci n’est qu’une fiction.